Depuis plusieurs semaines, j'ai repris l'habitudes de faire mes menus, cela permet de varier les plats, de vérifier qu'il y a suffisament de légumes proposés au repas, de vérifier qu'il n'y a pas d'excès de féculents et aussi chose non négligeable de gérer son budget (mes menus sont fait en fonction des promotions, du contenu de mon congélateur, du contenu de mon cellier). Avec ces menus élaborés, au bout de deux semaines, je me suis rendu compte que l'on mangeais la volaille souvent de la même façon et en pesant les morceaux (en barquette ) j'ai constaté que plusieurs morceaux pèsent plus 200g à côté d'autre rikiki . Du coup je me suis dis que le curry remédierait à ces deux inconvéniants, coupé en lanière régulière ce qui permet de donner la ration identique à chaque convives, et le goût sucré salé qui permet de changer de la traditionnelle escalope poélé avec de la crème fraîche (c'est très bon certe mais à la longue on se lasse)
Pour quatre personnes
600g de blanc de poulet
1 pomme
20g de noix de coco râpée
40g de raisin
1oignon
30g de concentré de tomates
250 ml de bouillon de volaille
20cl de crème fraiche allégée
2 cuillère à café de curry en poudre
Sel poivre selon votre convenance
Emincer l'oignon éplucher la pomme et la couper en fine rondelle. Couper les blancs de poulet en lanière.
Dans un saladier mélanger la noix de coco, le concentrer de tomate, la crème fraiche et le bouillon de volaille.
Dans une sauteuse mettre de l'huile et faire revenir les oignons, quand les oignons sont translucide ajouter les lanières de volaille et faire dorer sous toutes les faces. AJouter les pommes, et faire dorer, puis verser la sauce, et saupoudrer de curry. Laisser mijoter 15 minutes environs. Quelques minutes avant la fin de la cuisson ajouter le raisin puis assaisoner à votre convenance.
Ce plat s'accompagne parfaitement de riz, d'avoine, de gruau de blé de pâte fraîche et même de frite. Vous noterez que je n'ai pas parlé de légume, car je cuisine ce plat un mercredi jour où mon aînée mange le midi et elle apprécie ce que j'appelle la confort food.